Les membres des Vert'libéraux du canton de Berne ont voté très clairement en faveur de la loi sur le CO2 et de l'initiative sur l'eau potable. Ces deux propositions s’inscrivent dans l’ADN vert’libéral.
Oui à la loi sur le CO2
La présente loi sur le CO2 est un bon compromis global et une étape indispensable pour atteindre les objectifs climatiques de Paris. En conséquence, le Oui a été adopté à l'unanimité. Toutefois, la loi sur le CO2 doit être suivie d'autres mesures. Les Vert'libéraux font campagne pour une contre-proposition forte à l'initiative pour les glaciers et pour une plus grande transparence sur l'impact climatique de la place financière.
Oui à l'initiative pour une eau potable propre, liberté de vote pour l’initiative sur les pesticides
L'initiative pour une eau potable propre vise à résoudre les problèmes écologiques – comme la contamination par les pesticides et la surfertilisation – par des incitations libérales via le système de paiement direct. Une approche résolument vert'libérale.
Les membres ont donc voté à l’unanimité en faveur de l’initiative sur l’eau potable (avec 3 abstentions).
L’initiative sur les pesticides aborde également une préoccupation importante et similaire, mais elle repose sur des interdictions, se concentre uniquement sur le problème des pesticides et comprend une interdiction des importations. Pour les Vert’libéraux, l’initiative sur l’eau potable est donc préférable.
La liberté de vote est laissée pour l’initiative sur les pesticides.
Non à la modification de loi sur le terrorisme
La loi sur le terrorisme a été critiquée en lien avec les points suivants : l'efficacité, les aspects constitutionnels et les définitions sous-jacentes à la loi, qui peuvent être interprétées de manière arbitraire, sont considérés comme des points critiques par les Vert’libéraux. C'est dans cette optique que le Non à la loi sur le terrorisme a été adopté.
Oui à la loi Covid-19
Le Oui à la loi COVID-19 a fait l’unanimité. Les mesures visant à lutter contre la pandémie et à atténuer les dommages économiques sont nécessaires - et cela nécessite une base juridique. Enfin et surtout, cela renforce également les processus démocratiques.
Barbara Stucki nouvellement élue au comité directeur
Après la session d’été, la conseillère au Grand Conseil Barbara Stucki reprendra la présidence du groupe parlementaire de Luca Alberucci, qui se retire du Grand Conseil. Elle a été élue à l’unanimité par les membres du comité directeur, où elle représente désormais le groupe parlementaire.
